Je profite du lancement du Bundle d’automne pour vous proposer des tutoriels en pas à pas.
L’idée est de vous proposer de tisser avec moi un modèle de A à Z.
Voici donc le premier modèle que je vous propose: une mini citrouille. J’ai choisi des couleurs que vous aurez forcément envie de réutiliser si vous vous mettez sérieusement au brickstitch.
Ci-dessous le diagramme de la citrouille, et le diagramme en pas à pas:
Vous pouvez retrouver la première vidéo sur mon compte Instagram, et je publierai rapidement la suite.
Et ci vous souhaitez me soutenir en achetant le bundle, cliquez sur l’image ci-dessous.
Ce soir je vous propose un tutoriel pour rigidifier votre tissage avec du tissu, ce qui me semble être pour l’instant la meilleure solution pour un résultat pérenne (un tissage qui reste bien plat).
Matériel:
Tissu pailleté ou feutrine (je préfère le rendu du tissu). J’utilise celui-ci. Vous pouvez également utiliser du simili cuir.
1- Mettre le tissage sous un objet lourd, au moins une nuit, pour qu’il soit bien plat.
2- Déposer le modèle sur l’envers du tissu pailleté et faire le tour avec un stylo à pointe fine, en restant au plus près du tissage.
3- Découper le tissu en suivant l’intérieur du trait.
4- Superposer le modèle et la découpe en tissu, pour vérifier les zones qui dépassent.
5- Avec le stylo, coloriez les zones blanches, puis sur votre tissu, faites un contour d’environ 1mm, comme ci dessous.
6- Coupez les zones dessinées au stylo et collez ensuite le tissu au tissage avec la colle Hasulith.
7- Mettez votre tissage côté tissu sur la planche en bois, et placez un dictionnaire au dessus. Laissez reposer au moins une nuit.
Ensuite, vous pouvez coller vos aimants ou votre support de broche directement sur le tissu avec de la colle Hasulith (le must serait d’insérer le support de broche sous le tissu, à voir).
J’espère que ce tutoriel vous sera utile, bonne soirée!
J’ai laissé filer le temps mais c’était pour la bonne cause, aujourd’hui je vous propose un article sur la rigidification des tissages en perles Miyuki et sur l’évolution du tissage dans le temps (sur au moins une année).
1- Les modèles en brickstitch se tissent avec des perles de rocaille et du fil de nylon. Une fois que le tissage est terminé, il reste très souple, bien que les perles soient attachées solidement entre elles, ce qui rend compliqué son utilisation si on veut faire une broche, ou des boucles d’oreilles.
2- J’ai testé plusieurs techniques pour rigidifier les tissages:
l’enduire de colle Hasulith: je déconseille fortement, le tissage gondole.
l’enduire de vernis Décopatch. Sur le moment, le résultat est bon, à condition que vous laissiez votre tissage sécher sous un objet lourd (type dictionnaire) pendant au moins une nuit et que vous passiez plusieurs couches.
utiliser de la résine: le résultat est aléatoire, comme je vous le montrerai plus tard.
utiliser de la feutrine ou du tissu: c’est la méthode que je recommande.
3- Quelques exemples en photo:
Rigidification au vernis décopatch: le tissage ci-dessous a été rigidifié il y a plus d’un an. Comme vous pouvez le voir ci-dessous, les extrémités ont retrouvé leur souplesse et le tissage n’est plus droit.
Rigidification à la résine: il y a plusieurs inconvénients: il faut d’abord enduire le tissage de vernis décopatch en plusieurs couches pour éviter qu’il ne reste de l’espace entre les perles. Ensuite il faut réussir à doser la résine de façon équilibrée sans qu’elle ne coule sur les bords du tissage, et le résultat est vraiment très aléatoire. Ci dessous deux exemples, un réussi et un qui a raté.
Sur l’orange, la résine s’est répartie équitablement et le tissage n’a pas bougé depuis un an.
Ici, la résine a traversé les perles, et a débordé derrière, parce que je n’avais pas mis assez de vernis Décopatch avant de mettre la résine. C’est dommage, car le tissage de ce modèle demande plusieurs heures.
Rigidification avec du tissu: c’est la méthode que je préfère actuellement. Ci-dessous une photo du panda roux, que j’ai rigidifié il y a plusieurs mois et qui n’a pas bougé, il est resté bien vertical.
Dans l’article suivant, le tuto complet pour rigidifier le tissage avec du tissu.
Aujourd’hui je vous propose deux nouveaux tutoriels, qui vous permettront d’apprendre à fixer une perle isolée, qu’elle soit ancrée ou non dans le rang précédent.
Nous avons mené plusieurs projets ensemble, et certains modèles ont été dessinés à plusieurs mains, c’est à dire que nous avons échangé nos fichiers BeadTool afin que l’autre créatrice puisse reprendre le modèle et le dessiner à sa guise.
C’est le cas du bonhomme de neige ou des panoramiques dans le calendrier de l’Avent avec Bijouderé, du rouge gorge dans le livre Le Brickstich 2 avec Lili Azalée, ou des ours de Pâques avec Mamzelle Lulu.
Voici comment procéder pour extraire votre fichier (attention cela ne fonctionne qu’avec la version payante du logiciel)
Cliquez sur Parcourir
Recherchez dans la barre de recherche le modèle que vous voulez exporter: ici j’ai tapé « écureuil »
Une fois que le fichier apparait, faites un clic droit dessus, une fenêtre apparait
Cliquez sur « Save to » et choisissez le dossier dans lequel vous voulez que votre fichier soit enregistré
Vous avez créé un fichier .btp, qui ne peut être ouvert qu’avec Beadtool 4. Envoyez le par mail à la personne avec laquelle vous voulez travailler.
ATTENTION:
quand vous ouvrez votre fichier, Beadtool doit être fermé. Le logiciel s’ouvrira en même temps que le fichier. Si Beadtool est déjà ouvert, votre fichier ne s’ouvrira pas
si vous et la personne avec laquelle vous collaborez n’avez pas la même version de Beadtool 4 (par exemple si l’une des versions est plus récente que l’autre), il est possible que le nom ou l’aspect de certaines couleurs change quand vous ouvrez le fichier. Deux exemples: sur un fichier de Lili Azalée que j’ai ouvert sur mon BeadTool, le rouge 723 s’appelle Opaque Dark Cranberry, alors que sur mes fichiers, le 723 s’appelle Opaque red. De même avec un fichier de Bijouderé: comme elle a modifié l’aspect de certaines couleurs comme le 2113 ou le 2274, elles n’ont pas la même couleur quand j’ouvre le fichier dans mon logiciel que celle à laquelle je suis habituée pour ces références
Voilà, j’espère que cet article vous sera utile. J’ai trouvé très enrichissant de travailler un même dessin avec d’autres créatrices.
Si vous avez envie de vous entrainer, je vous partage par mail à la demande un modèle qui devait apparaitre dans le Brickstitch 2 et que je n’ai jamais terminé (attention les couleurs sont fantaisistes). Je vous demande simplement de citer votre source si vous utilisez cette base.
Il y a longtemps que je veux tester la résine pour rigidifier mes tissages. J’avais un peu peur de me lancer jusqu’ici, parce que je n’ai jamais utilisé ce produit.
Il y a quelques temps, je me suis enfin lancée, et j’ai testé une des résines proposées par le site Perles and Co.
Voici mon premier retour d’expérience.
1- Le matériel.
Pour me lancer, j’ai décidé de suivre ce tutoriel. En effet, au départ, je voulais fixer des tissages dans un cercle, comme sur le tutoriel en question.
J’ai donc commandé le matériel suivant (attention, la résine et la lampe sont relativement chers, c’est pourquoi je vais tester d’autres résines en comparaison).
tapis en silicone acheté à Cultura parce que je n’ai pas eu la présence d’esprit de l’acheter en même temps que le reste, il est pourtant moins cher sur Perles and Co.
un pic à brochette avec une partie plate (je trouve que le cure-dent est moins pratique) pour étaler la résine.
des gants type gants chirurgicaux.
si vous voulez encadrer vos tissages et les couler dans de la résine, il vous faut des anneaux de montage relativement grands. J’en ai trouvé à Cultura (ici et ici).
A noter: la lampe et le tapis ne sont pas uniquement destinés à la résine; la lampe est également utilisée pour la pose de vernis semi permanent (c’est d’ailleurs sa fonction d’origine), et le tapis est également utilisé pour la FIMO. Si ça se trouve, vous avez déjà le matériel chez vous. Il est en tout cas réutilisable dans d’autres domaines.
2- Premier test: montage d’un tissage dans un anneau.
J’ai dans un premier temps moulé un de mes tissages dans un des anneaux de montage de 3,2 mm acheté à Cultura.
La résine est très facile à utiliser, l’embout est long et fin, ce qui permet de bien doser le produit.
Le produit en lui même n’est ni trop liquide, ni trop épais, et s’étale facilement.
Pour fixer ma fleur, j’ai posé mon anneau sur le tapis de silicone (n’oubliez pas le tapis de silicone, sinon ce sera la grosse galère!), appuyé sur le flacon de résine, jusqu’à ce que ce que liquide remplisse le cercle et que le tissage soit recouvert de résine.
J’ai ensuite passé le tissage 60 secondes sous la lampe, comme indiqué dans le tuto de Perles and Co.
Attention: ne travaillez pas en pleine lumière, car la résine risque de durcir plus vite. J’ai travaillé à mon bureau, près de la fenêtre (là où vous placez les plantes pour qu’elles reçoivent de la lumière mais pas le soleil direct), aux alentours de 18h00. Je me suis servie du contrejour pour vérifier que la résine était bien répartie.
Une fois la résine durcie (elle reste un peu chaude et poisseuse), j’ai retourné l’anneau et j’ai fait la même chose de l’autre côté.
J’ai ensuite posé le pendentif sur mon bureau, où je l’ai laissé sécher toute la nuit (attention à le poser sur une surface propre, sinon la poussière risque de coller à la résine. Faites sécher votre montage sur le tapis de silicone par exemple). Le matin, la résine était lisse et ne collait plus du tout.
Je vous mets une photo du résultat final ci-dessous.
Le positif: la résine est facile à utiliser, elle s’étale bien, et le résultat final forme un bel arrondi. Comme c’était ma première fois, je n’en ai pas mis tout à fait assez, il y a des zones près du bord où il manque de la résine.
Le négatif: je n’ai pas pu éviter les bulles d’air. Il va falloir que je m’entraine, ou bien il n’y a aucune solution pour éviter les bulles.
Bon à savoir: j’ai ajouté une couche de vernis hypoallergénique Isoclip sur l’une des faces pour tester, il s’est parfaitement étalé et rend la résine un peu plus brillante.
3- Deuxième test: rigidifier un tissage avec la résine.
Pour ce deuxième test, je me suis servie de tissages que je venais de terminer.
J’ai posé le premier tissage sur le tapis, j’ai mis une grosse goutte de résine sur le tissage, et je l’ai étalée avec la partie plate du pic à brochette. Je me suis servie du contrejour pour vérifier que le produit était réparti de façon uniforme, puis j’ai passé le tissage sous la lampe à UV pendant 60 secondes.
Premier problème: le tissage a légèrement gondolé, et les bords se sont relevés de 5 mm environ (il est devenu concave).
J’ai tout de même retourné mon tissage, et j’ai fait la même chose de l’autre côté, en me disant que peut être il gondolerait dans l’autre sens (en oubliant au passage que la première face était bien raidie).
Au final, le tissage est ressorti concave.
Deuxième problème: la première face enduite fait moins « propre » que la deuxième face, il y a davantage de bulles et les perles sont un peu moins visibles. Malheureusement pour moi, j’ai enduit en premier la face avant de mon tissage. Du coup, pour les essais suivants, j’ai commencé par enduire la face arrière de mon tissage, pour finir par la face avant.
Sur les essais suivants, j’ai également légèrement appuyé sur les bords du tissage pendant qu’il était sous la lampe, pour l’obliger à rester plat.
J’ai aussi enduit plus soigneusement les bords, en mettant la même quantité de résine que sur le centre, pour être sûre que le produit en se rétractant sous la lampe ne soulève pas les bords.
Les deux tissages sont ressortis plus plats que le premier.
Je les ai également posés tous les trois sur le tapis de silicone, que j’ai plié ensuite pour les recouvrir, et j’ai posé un dictionnaire un quart d’heure dessus. Cela a permis de les aplatir davantage.
J’aime beaucoup le résultat final: je trouve qu’il met en valeur les couleurs vives. Et j’adore le bruit qu’ils font entre eux, on dirait des jetons.
Quelques photos ci-dessous:
Voilà, c’est tout pour ce premier test. Il y a encore beaucoup de travail pour peaufiner la finition résine.
Je vais essayer le test de Nineykow, à retrouver ici sur sa page.
Vous pouvez retrouver les diagrammes des oranges sur ma boutique Etsy, et la fleur de frangipanier sur mon groupe privé Facebook Coeur Citron Diagrammes et Camaïeux.
N’hésitez pas à me faire un retour sur vos différents essais,
Une astuce rapide ce soir, suite à une question de Béatrice sur les dégradés.
Cette astuce s’adresse à celles qui dessinent sur BeadTool.
Comme vous avez sans doute pu le constater, la représentation des couleurs sur BeadTool 4 pose plusieurs problèmes: tout d’abord, les couleurs ne sont pas toujours réalistes. Vous dessinez un modèle dont les couleurs vous paraissent magnifiques sur le logiciel, et quand vous commencez à tisser avec les couleurs en question, votre modèle ne ressemble pas du tout à ce que vous souhaitiez.
Deuxième problème: certaines teintes sont très proches, et quasi impossibles à distinguer sur votre écran (comme par exemple les références de jaune DB 721 et DB 751, bonne chance pour voir où vous placez vos couleurs sur votre dessin!).
Pour dessiner un joli dégradé, il faut respecter deux étapes: une étape sur le logiciel au moment du dessin, pour répartir les couleurs de façon harmonieuse, puis une étape « physique » qui implique de bien choisir les couleurs dans votre palette.
Ce soir, je vous montre comment répartir les couleurs sur votre dessin sans vous martyriser les yeux.
La solution est toute simple: pour répartir les couleurs de votre dégradé, prenez des couleurs fantaisistes et surtout qui contrastent, comme sur le dessin ci-dessous.
Je sais ce que vous vous dites: bon sang qu’il est laid! Ce n’est que le brouillon de travail 🙂
L’utilisation des couleurs vives et contrastées me permet de me rendre compte par exemple que la partie jaune et la partie verte sont à travailler: la partie jaune ne respecte pas l’arrondi du poisson.
Je peux aussi voir qu’il y a une harmonisation à faire en bas au niveau du violet et du rouge.
Enfin pour les poissons, j’utilise toujours une couleur différente pour les nageoires, afin de voir si elles épousent bien la forme du corps du poisson, et si le corps du poisson a une forme harmonieuse.
Une fois ce travail réalisé, vous pouvez passer à la phase suivante, que je vous expliquerai demain 🙂
Première étape: posez votre tissage sur l’envers du tissu et tracez le contour avec le stylo Frixion. Respectez bien le contour des perles.
A savoir: le stylo Frixion a pour avantage de s’effacer avec la chaleur: un coup de sèche cheveux et il disparait. Cela vous évitera des traces de stylo disgracieuses.
Deuxième étape: découpez le tissu avec vos ciseaux.
Astuce: quand vous découpez, ce ne sont pas les ciseaux qui tournent autour de la forme, c’est vous qui bougez le tissu, les ciseaux restent immobiles. Cela vous permettra une découpe plus fine.
Posez votre tissage sur le tissu et vérifiez que votre tissu ne dépasse pas. Si des zones dépassent, coloriez-les avec le stylo à friction et coupez-les.
Troisième étape: retournez votre pièce de tissu, et avec le stylo, faites des repères pour coudre votre support de broche.
Quatrième étape: cousez votre support de broche au tissu, en vous arrangeant pour que le nœud d’arrêt de votre fil soit à l’arrière du tissu et donc caché.
Cinquième étape: enduisez votre tissage de colle Hasulith, en ne vous approchant pas trop du bord du tissage. N’enduisez pas le tissu, enduisez uniquement le tissage.
Sixième étape: collez votre tissu sur le tissage, en l’ajustant bien pour que le tissu ne dépasse pas.
Laissez sécher à plat, au moins 12 heures.
Septième étape: une fois la colle sèche, retournez votre tissage, coupez les morceaux de tissu qui dépassent.
Si c’est trop délicat de couper le tissu, coloriez-le avec un feutre de la même couleur que les perles.
Récemment, j’ai publié un léopard. J’ai pensé que cela vous intéresserait peut être de savoir de quelle façon je dessine, et j’ai donc décidé de vous montrer les coulisses de la création de ce diagramme.
1- La recherche d’images
Pour les animaux, je procède toujours de la même façon: je cherche une image « générale » de l’animal (une image sur laquelle on le voit en entier), et une photo en gros plan, souvent de la tête, (de profil ou de face), pour avoir une idée de l’aspect des yeux et de la façon dont le pelage se place.
Pour le léopard, j’ai simplement tapé « léopard profil » dans Google, et j’ai utilisé les photos ci-dessous.
Prenez le temps de bien sélectionner vos photos, c’est une étape importante.
2- Le contour du diagramme
Une fois vos photos sélectionnées, enregistrez les dans un dossier sur votre ordinateur.
Pour ma part, je travaille sur BeadTool4, qui vous permet d’importer l’image en arrière plan.
Pour d’autres modèles, comme mon cacatoès ou ma première panthère, j’ai travaillé directement sur un bloc de papier. J’ai placé mon ordinateur à côté de mon bloc pour bien observer les photos repérer les formes, et j’ai reproduit le tout sur mon bloc.
Commencez toujours par le contour de votre diagramme: cela vous permettra de limiter la taille de projet. Si par exemple vous commencez par les détails comme les yeux, vous devrez faire le reste du dessin de façon proportionnelle, et votre dessin risque d’être énorme.
Bon à savoir: quand vous utilisez une image en arrière plan sur BeadTool pour dessiner, pensez à prendre une image avec un fond qui contraste avec le sujet (et donc pas comme sur la photo en dessous), ce sera plus facile pour vous de distinguer la forme du sujet.
Une fois que votre photo est placée sous votre grille, dessinez le contour de votre motif, en utilisant une seule couleur.
3- Placer les couleurs.
Pour les animaux entiers comme celui ci ou le tigre, j’ai procédé en deux étapes.
J’ai commencé par mettre les couleurs de fond: ici le dégradé du blanc au sable doré du pelage.
Pour le tigre, j’ai commencé par le dégradé du blanc au orange.
Pour placer les couleurs, il suffit d’observer attentivement la photo: sur la panthère, on voit que les zones sur le ventre et les pattes sont blanches, on remarque que le pelage le plus foncé est au niveau du centre du corps et de la tête. Il y a du gris sur la queue et à l’arrière des pattes. Placez vos couleurs sur votre diagramme de la même façon.
Une fois que le fond est fait, vous n’avez plus qu’à placer les rayures ou les taches.
Là encore, observez les photos de près: sur le léopard, les grosses taches bicolores sont concentrées sur l’abdomen, alors qu’au niveau des pattes et du bas du ventre, elles sont plus unies et plus petites.
Pour la tête, je me suis servie de la photo en gros plan pour déterminer la forme et l’emplacement des taches.
Bon à savoir: mettez sur papier ou sur ordinateur les couleurs qui vous plaisent sans vous soucier de leur référence (leur numéro DB). Sur BeadTool en particulier, le rendu proposé par le logiciel est souvent très éloigné du rendu réel, ne vous y fiez donc pas.
Une fois votre dessin terminé, choisissez parmi vos références de perles les couleurs qui vous semblent correspondre au rendu que vous souhaitez.
Une fois votre dessin tissé, vous n’aurez plus qu’à rentrer les bonnes références dans le logiciel.
Voilà, j’espère que ce mini tuto vous aura été utile.
Si vous souhaitez retrouver les diagrammes, ils sont disponibles sur ma boutique Etsy.